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Pôle 76

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Mouvements

  - la danse

10 mars 2013 7 10 /03 /mars /2013 17:42

  le-noir-a-su-raconter.jpg

 

Le noir a su raconter le réveil dénué de perpétuelle féminité ; la vision des pèlerins au long de la route de part et d’autre des territoires familiers lorsque se déchaînent les machines et qu’écrire fait frissonner ; sitôt la peur grésille dans les poussières autant que les pensées se lisent sur les mains.

 

Le Noir a su raconter les gestes rapides du tailleur dont les mesures décryptent l’âge au mètre ruban, l’ignorance des quantités et des proportions que tout bon artisan refuse sous peine de finir en ossuaire ; les lèvres pincées de colère contenue face au désastre.

 

Le noir a su raconter l’envoûtante histoire du thé mandarin, la fatalité des lieux trop gigantesques pour se dissimuler, les hurlements dans les rizières vertes et la jouissance sans retour.

 

Le noir a su raconter l’hésitation des yeux voilés s’inclinant au-dessus du lait sucré à la cannelle.

 

Le noir a su raconter sur quelle sente, cet homme simple, qui ne pouvait sortir sans avoir mis sa cravate, le maudissait ; comment un baiser le bouleversa alors qu’il prenait son envol au bout d’une piste d’aéroport et ce qui de l’ontologique solitude bâille comme un textile laminé

 

Le noir a su raconter la complexité des secousses avant l’heure où vêtue de dentelles, elle avançait vers l’angle sonore de l’autel; et enfin, juste avec un léger hochement de tête, une mauvaise blague sur les mains sales de celui qui bénissait

Collectif

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10 mars 2013 7 10 /03 /mars /2013 17:07

 

  equinoxe noirSilvia Bächli, Sans Titre n°4/12,1996, Photogravure

 

Le téléphone l’a réveillée "Et l’intimité du geste, t’en préoccupes-tu ?" lui a-t-il dit sans préambules, ajoutant qu’il n’avait pas dormi de la nuit. Pourtant ce matin-là, il  n’aurait pas fallu longtemps pour la convaincre de descendre le long du canal où l’eau sombre gisait, en deçà du jardin aux cactées. Ses taches de rousseur enflammaient les ténèbres de leur lyrisme extrême, sous le lilas se chantonnait l’ode sculpturale de fin d’hiver. Tout dans sa posture criait au romantisme si ce n’est les bracelets sadomasochistes qu’elle avait noués à ses poignets dont quelques poils éclipsaient l’espace blafard. Le regard était baissé sur l’organza d’un bustier plissé.

Elle se souvint des aiguilles enfilées de soie ébène sur le damas à pois blancs qui brodaient patiemment le léopard de Kiki sur sa gorge dénudée.

La mélancolie n’est pas une jument montée à cru, en arrière-plan d’une cour sombre d’où s’élèvent de sinistres fûts à l’écorce moussue. Beyond mystic. Erika ne tendait jamais les bras, à l’égal de Caspar David Friedrich, même lorsqu’elle chantait emplie d’une ferveur qui ne lui faisait plus toucher ni sol ni plafond.

Il fut un temps où elle n’avait pas égaré la pierre dure et lisse, sourde à ses amours dont elle se sentait dépositaire, ce qui la portait aux confidences "J’ai vu se superposer aux branches des noisetiers glabres de leurs chatons illuminés, des archéologues qui extirpaient des vestiges du sol et délaissaient les ossements humains", ce à quoi il répondait "J’ai vu des baleines à bosse nager entre tes boucles diaphanes."

Puis Noé avait renversé la bouteille d’encre de Chine, tachant l’eau d’ambre du masque Mbangu que Romain et Jane lui avaient rapporté du cloître lors de leur fuite. Dès lors, ils avaient vécu leurs nuits à New-York, Berlin, Vertou ou Cachan. Elle soupirait "Est-ce cacher sa mort en négatif 16 mm ? "

Il ne la rassurait plus, même s’il lui offrait des papiers anciens rehaussés de fards poudreux.

L’étalon de la mélancolie n’est pas invariable. Plutôt que flirter avec les entrailles du no future, elle se récita une ultime liste.

-          Le fusain est combustible

-          L’anthracite est combustible

-          L’huile de cade est combustible

-          Le noir de bitume est combustible

-          L’artiste est combustible

Quand on se met à brûler, qu’est-ce qui reste ? L’abandon de soi, la méditation, le début d’une nouvelle époque.

 

Catherine Robert

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10 mars 2013 7 10 /03 /mars /2013 16:59

livre-de-marbre.jpg

livre noir- hommage à H.Michaux - KUBACH-WILMSEN

 

Noir comme la vanité

Des colliers de crânes délavés flottent dans des mains expertes qui les  polissent  tandis que le regard énucléé d’un trio infernal tue « on the road again »

Portrait de la vieille camarde en noir jeté sur du newspaper chinois.

Bonté divine del « à mort »

 

Noir comme l’urgence transgressée

Paysages hors champ. Black house type lambda.

La vie avec les autres, flux de l’écume blafarde sur du sable ténébreux

Bitume glacé, segments orthonormés -  reflets du difficile abandon de soi

 

Noir comme la pulsion

Hermaphrodisme des signes calligraphiés sur le corps. L’encre jaillit de la bouche béante.

Le texte n’est pas un chien surgi des ténèbres. Il creuse la faille invisible des tourments, la pétrit de ses longs doigts en latex chirurgical et met à la lumière l’imposture de l’intimité

 

Noir comme une charade

Ubuesque Symbole Monotype d’une série de 101

Mon premier est un président

Mon tout est : THE FOUNDER marouflé en son habit de nostalgie

 

Noir comme la mémoire du plissé

La brume tissée de fils de soie ancre les détails du récit dans la trame d’une cape.

Jouissance du chat et de la souris.

Un corbeau goguenard

 

Claudine Dozoul

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10 mars 2013 7 10 /03 /mars /2013 16:55

  noirs.jpg

détail de Sans titre,2008 - Thomas FOUGEIROL

 

View on color – purple

Noir comme l’aube, la corneille s’en est allée et le delta s’ouvre au nouvel an, peut-être irons-nous déjeuner au bord du Nil à la floraison des nigelles princières.

 

View on color – indigo

Noir comme des amoureux qui se bécotent, ils sont cachés, ils discutent, les talons dans la poudre de basalte les trahissent et la grève inlassablement récite "Dimanche au bord de l’eau".

 

View on color – blue

Noir comme ton sommeil au ferrisyanure, les frères jumeaux veillent à ce que lynx et digitales ne t’étouffent pas.

 

View on color – green

Noir comme une soupe que caresseraient sans fin des cuillères argentées sans que le feulement des canidés n’en fasse frémir l’organique surface.

 

View on color – yellow

Noir comme une trame tachée de la couleur des temps, ceux des draps sales lorsque tu m’aimais.

 

View on color – orange

Noir comme les voilages des anciennes michelines qu’accrochent toujours au-dessus des tables de formica les cheminots de Sotteville-lès-Rouen.

 

View on color – red

Noir comme feu Bovary, gueule ouverte et jabot ourlé, seuls frémissent les drapés carminés. Flaubert de longue date luisait derrière le verre.

 

Catherine Robert

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10 mars 2013 7 10 /03 /mars /2013 16:39

plisse.jpg  

 

Encre sur vélin

Soleil noir de la fiction

Plissé de l’écho

 

Oindre la nostalgie - Blues

I can get satisfaction

 

Aile métissée

En voile romantique

Charade sombre

         Innocence des fumées

         Seule - velours éclipse

 

Des vagues noires

Futaies marmoréennes

Hysteric tree - Black

         Sédition savoureuse

         D’outre-tombe – Craie blanche

 

Taches nomades

Sur un bitume laiteux

Papier baryté

         Hybride vierge du suif

         So long, mémoires pourpres

 

Collectif

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10 mars 2013 7 10 /03 /mars /2013 16:00

 

Rencontre des Ateliers de traverse

à l'exposition  CODE NOIR. 30 ANS DE SHOPPING,

FRAC Haute-Normandie, Rouen

le 07 mars 2013


 

FRAC-HN.jpg

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3 mars 2013 7 03 /03 /mars /2013 16:42

Au moment où je vais mettre mon maillot de bain…

 

Mon ami rôde de la Picardie à la mer

Un cheval descend en terre inconnue d’ici ou de là bas

St Valentin joint le théâtre national de Bretagne à Vernet les bains

Des revenants fuient un territoire abandonné pour des placards

Une merveille absolue erre depuis la cabine du tailleur jusqu’en Alsace

Et France.B  chemine des chaînes publiques de la télé vers la vraie vie

Lydie

 

 

Le lundi quand je vais au marché

 

Tu te balades de Bordeaux jusqu’à l’Allemagne

Le prisonnier fuit sur le rocher à San Francisco

L’homme rôde sur l’aride montagne, loin de l’ancienne prison

Les soldats descendent le canal pour rejoindre la Grèce

Et les enfants dévalent le sable de Mangalore en Inde

Michèle

 

A la tombée de la nuit

 

Un pêcheur rôde au bord du lac Leman dans le silence

De drôles de petites bêtes piétinent dans une pièce de théâtre, rue Vallois

Quatre singes se joignent au concert privé de l’église St Laurent à Vienne

Les chats persans au visage si doux se baladent du pays des merveilles à la petite Venise

Des enfants coloriés dévalent la page sur la droite

Thérèse

 

 

Quand au matin le Vieux Port s’illumine d’un soleil timide

 

J’erre dans la friche de la Belle de Mai. Je chemine parmi les romarins odorants qui recouvrent la colline proche et je regarde les bateaux fuyant dans les lointains vers la Corée ou le Vietnam. Piétiner les souvenirs brumeux déposés à Lorient, au Havre ou à Nantes pour se balader, comme en apesanteur, au Liban ou au Pérou et joindre Vienne à Budapest en descendant le Danube au rythme d’une valse romantique.

Andrée

 

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10 février 2013 7 10 /02 /février /2013 14:19

Voyage au bout de ma nuit

Cette nuit fait encore la une

Où craintive se montre la lune

Le vent frais

Fait claquer les volets

Oh ! Nuit plus inquiétante

Qu’imposante

Lui préfères-tu l’exil ?

Eh bien ! Prends ton envol

Vers les astres fabuleux

                                  Vole

Dans les cieux

Toi, le rêve

Fidèle compagnon

Quel est ton nom ?

Veux-tu te faire réalité ?

Tu me présentes des personnages

Aux accents de vérité

Qui par magie

Viennent dans la fleur de l’âge

Habiter ma nuit

Oh ! Majestueuse transposition

D’une étonnante révélation.

Le long chemin est nécessaire

Parfois éphémère.

La ligne d’horizon

Est au bout du voyage

Elle te dit courage !

Sera-t-elle salvatrice ?

Suis les méandres de l’oubli.

Pourquoi es-tu hésitante

Au point d’être haletante ?

Oh ! Quelle fébrilité !

Peux-tu t’arrêter ?

Cécile

 

 

 

Insécurisée

 

La nuit est tombée

L’obscurité de la nuit me conduit vers la clarté de la fenêtre

J’y vois le vieillissement des fleurs. Je ressens la présence de la mort dans le noir de la chambre. Dehors, la nature est calme. Le sommeil arrive.

Rêves.

Le matin, je suis joyeuse en allant au bord de l’eau. Le temps est pourtant triste. Au loin un enfant coule. C’est effrayant. Je reste pensive, je vois des personnes remplies d’amour. Des enfants contents de jouer. Je rentre. Le chat ronfle. Un grand bruit dans la rue, un accident de voiture. Un petit garçon se met à courir, il a volé dans un magasin. Je vais dans la cuisine, je sens le gaz qui s’échappe. Mon fils me quitte. J’entame une conversation, je gaffe. Je vais prendre ma douche, il y a une fuite d’eau. Je sors de la maison, une gouttière pend le long de la toiture…

Le sommeil repart.

Michèle

 

 

 

Voyage intérieur

 

La lune escarpée se cache dans la pénombre. Cette image me ramène à mes vieilles peurs;   réminiscences vers l'introspection de mon dedans.

Rêves et cauchemars peuplent mon sommeil. Les bruits deviennent silence, les odeurs envahissent l'immensité et je m'envole vers la volupté d'une nuit féconde.

Le mutisme de la nuit me transporte sur une île déserte.

 

Alanguie sur le sable chaud, je fais le lien entre le moment présent et mon dernier voyage.

Un sourire illumine de tendresse le songe d'une rencontre enchanteresse, une nourriture terrestre. Puis, doucement, un glissement vers une musique mélodieuse qui sonne et résonne dans tout mon corps.

Un pansement, du baume pour mon cœur; voilà la solution! Faire de la place à l'espace le temps d'un mirage, recouvrer mes ailes et voler au dessus des mers, des océans.

Le rêve est un voyage!

 

Le voyage de mon enfance

 

Louise entend des voix de derrière la porte. Aux timbres de voix, elle sent le danger imminent. Elle doit absolument retrouver son père.

Elle déguerpit, prend ses jambes à son cou et elle court les cheveux au vent; ce même vent lui fouette le visage.

L'odeur de la terre mouillée l'incommode mais pas le temps de s'épancher, fuir le plus loin possible.

Elle court, sa respiration s'accélère, les douleurs s'invitent dans ses jambes et dans son cœur.

Au loin, le but, l'arrivée. La peur donne naissance à la force, aux déploiements des ailes pour atteindre son but final. Retrouver son père!

 

Fabienne 

 

 

 

Rêves d’une nuit mouvementée

 

Le coucher de soleil est magnifique ce soir, chargé de nuages rouges et orangés.

Il fait jour cette nuit, c’est que la pleine lune nous éclaire ! Beaucoup de personnes dorment ou essayent de dormir. On n’entend aucun bruit sauf un carillon ou une horloge qui sonne les heures. Les étoiles scintillent dans le ciel. La lumière des avions clignote dans le noir. La neige tombe à gros flocons et recouvre le paysage

Une ombre apparait. J’ai peur. Ce n’est que le vent qui anime les arbres. Je m’endors.

Je suis dans l’eau et je ne sais pas nager. Soudain j’entends le téléphone. Je crois que c’est un rêve. Des renards rôdent dans le coin. Je m’approche d’un, particulièrement beau. Je me promène au bord de l’eau et je vois quelqu’un que je n’avais pas vu depuis longtemps

Je me réveille brusquement, il y a du feu. L’eau l’éteint. C’est le déluge ! Quand je suis réveillée j’écoute le tic-tac des horloges mais là, je n’entends que la pluie qui tombe brutalement.

Le matin, tôt, elle s’arrête. Alors, je m’évade pour une randonnée. Je rencontre du monde. L’eau du moulin est bruyante. Dans la forêt je vois des lièvres s’échapper de leur terrier, des faisans voler de branches en branches et de nombreux corbeaux qui filent lorsqu’ils m’entendent marcher. Je continue la route où s’avancent la journée et la fatigue

 

Je me réveille, il fait nuit ce jour-ci, c’est que les nuages sont noirs !

Thérèse

 

 

 

Le départ d’un ami.


Il a pris sa course au petit jour par la porte restée étourdiment ouverte. L’espace était là devant lui, attirant, comme l’appel qu’il avait si souvent entendu dans ses rêves. Oublié le repos qu’offre habituellement la stalle protectrice ; ce qu’il voulait c’était courir dans le vent.

Depuis cet instant, je cherche mon cheval disparu au matin, évanoui dans l’air printanier qui sent l’herbe nouvelle. J’ai pensé le retrouver au bord de la rivière. L’eau que l’on regarde serpenter sous les arbres est un voyage offert à l’imagination. La cascade dégringole en avalanche, image d’un paradis peuplé d’apparitions fantomatiques, de monstres inconnus qui, en d’autres lieux seraient source de cauchemars.

Je l’ai cherché tout le jour et même après, dans cette obscurité infinie qui enveloppe toute chose, tous les êtres et qui, sans doute, l’a englouti lui aussi. J’ai peur parce qu’autour de moi la mort rôde, comme un chacal, un animal noir, difforme, inquiétant, que je retrouve partout au cœur de cette nuit polaire qui s’éternise. Au ciel, nulle étoile pour calmer ma douleur.

Marcher sans cesse sans pouvoir dormir, marcher pour échapper à ce fantôme frileux qui me poursuit à chaque étape. Et mon cœur pleure parce que je cherche en vain mon ami disparu.

Andrée

 

 

Mon fils et moi

 

 

Mon compagnon et moi aimerions nous allonger dans le sable

Lune de miel

Naissance d’un enfant

 

Je me suis réveillée au coucher du soleil

Je me suis promenée avec mon fils. Nous avons vu la lune

J’ai conduit et j’ai croisé un chat noir

J’ai peur de la nuit noire quand je suis seule

 

Je me suis réveillée au coucher du soleil

Je me suis promenée avec mon fils. Nous avons vu la lune

J‘aimerais revoir mon fils bébé dormant dans son lit douillé

Mon petit prince a beaucoup de sommeil dans ses yeux

 

Je me suis réveillée au coucher du soleil

Je me suis promenée avec mon fils. Nous avons vu la lune

A noël il est joyeux en attendant le père Noël

Au mardi Gras je lui fais des crêpes et ça sent bon

 

Je me suis réveillée au coucher du soleil

Je me suis promenée avec mon fils. Nous avons vu la lune

Mon fils a un visage adorable et doux. J’aime son odeur

Après la sortie du chien nous aimons nous enfermer au chaud

 

Je me suis réveillée au coucher du soleil

Je me suis promenée avec mon fils. Nous avons vu la lune

J’ai peur qu’il lui arrive quelque chose. Surtout quand il cherche des serpents dans l’herbe

Pour en récupérer ce venin qui guérit

 

Je me suis réveillée au coucher du soleil

Ma grand-mère a fait des sucettes au caramel

Quels délicieux parfums

Mon fils a tout mangé

Nous avons vu la lune

Lydie

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14 janvier 2013 1 14 /01 /janvier /2013 09:18

 

Les ateliers de traverse 76

vous accompagnent de

leurs voeux les meilleurs

pour cette année 2013

qu'ils mettent sous le signe

du mouvement.

 

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30 décembre 2012 7 30 /12 /décembre /2012 19:47

 

Angelus.jpg

"Variations" de Daniel Mayar 

exposées à la Passerelle - Mont St Aignan

Déc 2012

 

1 –

Des personnes et un cheval

Le Mt St Michel

La traversée des grèves

Surnaturel

L’écureuil ailé

Manège enchanté

2 –

Où as-tu mis la clef ?

Anges élus

A la mer descendante

Couple sous la lune

Prière dans les près

3 –

Trois enfants dans un champ

Dansant au bord des côtes

Danse macabre

Où rôde la grande faucheuse

Epouvantail

Ploum !ploum ! ça sera toi qui mourras !

4 –

Le facteur n’est pas passé, il n’a pas…

Match de golf

Pique-nique

Ils regardent le champ

Une vague surgit sur le couple
L'Angelus n'est pas lisse

6 –

Une église sur le chemin

La chasse aux papillons

Une dame, et un homme

Premiers pas sur la lune

Le battage des blés

7 –

La nuit, deux personnes

Un chevalier allant au combat

Dans la vase, lors d’une tempête… d’un tsunami

Et celle qui surveille le volcan

8 –

Un centaure

Symphonie pas orale

Champ de bataille ou promenade à la campagne ?

9 –

La prière après la mort

Demande en mariage

Le long d’un chemin

Randonnées …..

 

 

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